Un être me manque… et j’aimerais qu’autour de moi tout soit
dépeuplé.
Chaque minute l’étau de cette solitude est plus
insupportable.
Dans la touffeur au quotidien, à la limite de la suffocation
Je ferme souvent les yeux, visualisant mon amour impalpable.
Si loin de moi mon promis invisible,
Comme un rêve, des souvenirs caressent mon esprit,
Saveur douce-amère d’un bonheur perdu.
Bientôt je le retrouverai mon délicieux amant.
Reviens-moi vite, pour ne plus me quitter,
Pas un mirage, ce que nous construirons,
Un bonheur indicible, inédit en ce monde.
...A jamais tienne, mon Prince Charmant
Un poème sublime, merci :')
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