jeudi 10 janvier 2013

SUNday in Normandy

Du soleil en Normandie.
Quand il y en a, il faut savoir en profiter, en été comme en hiver, sans attendre! car on n'est jamais assuré qu'il soit encore là dans l'heure suivante...
Assez difficile à vivre pour moi que ce climat plus gris que lumineux, mais je parviens tout de même à voler quelques jolies balades et images.






mercredi 9 janvier 2013

Je suis la galette !

Je n'ai pas respecté la tradition de l'épiphanie niveau timing,
mais j'avais quand même envie d'une bonne galette et de faire plaisir à mon aimé,
alors j'ai fait ma galette végétalienne,
avec double dose de frangipane parce que c'est trop bon et puis voilà!
Tiède c'est vraiment un délice!






mardi 8 janvier 2013

Oyez Oyez

Nous sommes en 1047 ? Ah, ben non pourtant mais rien n'a changé.
La populace trépigne à l'idée de bientôt pouvoir brailler son excitation et ses clameurs à l'occasion de la "bouchoyade", une merveilleuse et festive tradition où un cochon est égorgé sur la place publique puis découpé.





Que d'émotions en perspective! Vivement le 2 février dans ce bled à la con et ses citoyens finis au pipi qui vont avoir le zizi tout dur devant le spectacle d'un être innocent et sensible qui se vide de son sang et agonise.
Si vous souhaitez saboter leur petite sauterie honteuse, ne vous faites pas prier!

http://www.chaux-de-fonds.ch/evenements/la-bouchoyade




lundi 7 janvier 2013

qui volebant esse Parvula excelsum

Si petite, infime, minuscule, insignifiante, imperceptible créature à l'échelle de ce monde.
Ici gouverne ce qui est grand, grandement riche d'absurde, insensée monnaie sans avenir ni valeur qui soit mienne.
Moi je n'ai de grand que l'ambition d'humilité universelle et le rêve utopique que tout soit comme il devrait,
une place pour chacun, chacun à sa place.
Bien assez d'eau et de fruits pour tous les hommes et ses frères, bien assez d'arbres pour abriter du vent, bien assez de respect pour qu'ours, loups et tous Êtres aient le droit à la vie qui leur revient.
Une place pour chacun, et chacun à sa place, qu'il en soit ainsi,
et pourtant, il n'en est pas.
Je suis de l'espèce parasite qui vole, viole et tue, pour un dessein incompréhensible,
virus destructeur, en refusant par orgueil d'être petit, il a anéanti toute harmonie dont il aurait pu jouir lui aussi.
Vous étiez enfants de Dea, vous serez rejetons du Néant.