lundi 7 janvier 2013

qui volebant esse Parvula excelsum

Si petite, infime, minuscule, insignifiante, imperceptible créature à l'échelle de ce monde.
Ici gouverne ce qui est grand, grandement riche d'absurde, insensée monnaie sans avenir ni valeur qui soit mienne.
Moi je n'ai de grand que l'ambition d'humilité universelle et le rêve utopique que tout soit comme il devrait,
une place pour chacun, chacun à sa place.
Bien assez d'eau et de fruits pour tous les hommes et ses frères, bien assez d'arbres pour abriter du vent, bien assez de respect pour qu'ours, loups et tous Êtres aient le droit à la vie qui leur revient.
Une place pour chacun, et chacun à sa place, qu'il en soit ainsi,
et pourtant, il n'en est pas.
Je suis de l'espèce parasite qui vole, viole et tue, pour un dessein incompréhensible,
virus destructeur, en refusant par orgueil d'être petit, il a anéanti toute harmonie dont il aurait pu jouir lui aussi.
Vous étiez enfants de Dea, vous serez rejetons du Néant.


1 commentaire:

  1. ah oui,chacun à sa place...mais cela ne se fera pas ici sur cette planète,qui est fait pour les embrouilles...mais on peut mettre des lunettes rises, chose que je fais souvent,et chaque chose n'est plus à sa place, mais au moins a une jolie couleur, hihi!!

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